Philippe Durand

Filles Odessa

« (…) Les Filles d’Odessa font figure d’exception dans tes séries, dans la mesure tu montres des personnages isolés. Vas-tu développer de telles séries ou la photo se construit dans ce rapport spécifique au modèle ? Les filles deviennent une sorte de prisme, comme la mémoire codée de la ville, à travers lequel on découvre Odessa. sont des passantes, je fixe cette sensation fugitive, cette mise en relation du corps au décor. (…) »

Lise Guéhenneux, entretien Blocnotes N°16, 1999

1994